Le site Infos-du-Net.com publie un article listant les meilleurs logiciels gratuits dans de nombreuses catégories parmi lesquelles: bureautique, outils graphiques, vidéo, audio, sécurité, etc…

Evidemment, la liste n’est pas exhaustive, mais suffisamment large (45 logiciels) pour couvrir une bonne partie des besoins. Et la qualité des produits sélectionnés dans chaque catégorie n’est plus à prouver: OpenOffice, Picasa, The Gimp, Audacity, IZarc, Avast!, etc…

Personnellement convaincu du soin apporté à ces logiciels pour la plupart issus du monde du libre, j’utilise déjà une bonne moitié d’entre eux. Cet article ne fait que confirmer mon choix de n’utiliser que ce type de logiciels. Et même s’il manque certains élémentaires indispensables (VLC par exemple dans la catégorie vidéo), cette liste constitue une bonne compilation et permet surtout de télécharger directement à partir du site Info-du-net.com les logiciels qui vous intéressent.

11 décembre 2006

Surfez anonymement

Allowu.com est un service gratuit et online de proxy. Il vous permet de surfer de façon anonyme sur Internet de façon sécurisée. Ainsi, les sites que vous visitez ne peuvent pas vous identifier (cad. récuperer votre adresse IP), ni vous polluer de cookies permettant de vous suivre à la trace.

D’une simplicité extrême (il suffit de saisir l’adresse du site que vous voulez visiter dans le champ prévu à cet effet), Allowu.com est en plus paramétrable via un petit formulaire sur la page d’accueil du service et aussi affichable en entête des sites que vous visitez. Il est ainsi possible d’autoriser ou pas d’un simple click, les scripts, les cookies, les images, etc…

A essayer sur certains sites auxquels vous ne faites pas forcement confiance et pratique aussi dans le cas où votre réseau d’entreprise filtre l’accès à certains types de site web.

Avec l’arrivée imminente de la nouvelle console made in Nintendo sur notre territoire, je ne résiste pas au plaisir de relayer ces quelques images extraites du guide d’utilisation japonnais. Parmi les précautions à prendre, certaines sont plus ou moins tirés par les cheveux, mais souvent très amusantes. En tout cas, avec ça, Nintendo est à l’abri des procès. Une liste plus exhaustive est disponible ici.


Ceci dit, les avocats d’aujourd’hui sont très fort, et le site IconFactory, inspiré par tant de précaution, a détourné la documentation afin de prendre en compte certains cas de figure qui n’ont pas été anticipés par Nintendo (plus d’images ici).

Ingénieuse idée proposée par le site 10minutemail.com. Ce service vous fournit une adresse e-mail pour une durée de 10 minutes, à la suite de laquelle l’adresse est détruite.

Tout se passe directement sur le site en question. Vous cliquez sur le lien « Get my 10 Minute Mail e-mail address« , et une adresse ressemblant à celle-ci « mail59993@10minutemail.com » est automatiquement créée. Vous arrivez alors sur une page se rafraichissant automatiquement, et vous permettant de voir si des messages vous sont adressés, de les lire et bien entendu d’y répondre. Mais vous n’avez que 10 minutes pour cela (il est cependant possible d’augmenter la durée de vie par tranche de 10 minutes si nécessaire).

A quoi ça sert ? Et bien, par exemple à vous inscrire sur un nouveau service web, ou sur un site peu sûr nécessitant de fournir une adresse e-mail valide pour l’inscription (et même de la valider en répondant au mail reçu), sans prendre le risque de voir votre adresse habituelle spammée par la suite. Utile!

Ajouter la gestion de vos tâches (to-do lists) à votre calendrier préféré, c’est désormais possible. Si vous êtes un utilisateur de Google Agenda (ex-Calendar), il ne vous a pas échappé que cette possibilité manque cruellement et même si de nombreux services de to-do lists très web2.0 existent aujourd’hui, c’est toujours un inconvénient de devoir se connecter sur un site bien particulier pour les gérer.

C’est donc avec un certain plaisir que l’on voit arriver l’un des meilleurs, Remember The Milk, au sein même du calendrier made in Google. L’intégration est d’une simplicité à toute épreuve. Vous créez un compte sur Remember The Milk (si vous n’en aviez pas déjà un), et vous trouverez sur le blog du service un bouton permettant d’ajouter un calendrier « spécial » sur votre Google Agenda. Vous verrez alors apparaitre une petite icône sur chaque jour qui permettra de visualiser, mais aussi d’ajouter ou d’éditer des tâches directement depuis Google Agenda. C’est très pratique et c’est plutôt de bon augure que de voir fusionner deux excellents services…

28 novembre 2006

Achetez un portable

C’est à la mode et surtout cela permet d’éviter ce genre de situation inconfortable…

… de là à justifier l’extra-ordinaire augmentation du volume des ventes… il n’y a qu’un pas ;o)

Previously: A lire… [1], [2] et [3]

Cela faisait un petit bout de temps que je n’avais pas fait d’article sur les billets de la blogosphère qu’il faut lire pour être à la page… Alors, aujourd’hui, un spécial Zune et PS3.

  • Commençons par le Zune de Microsoft qui en prend pour son grade dans 2 articles publiés sur Ratatium, ici et . Le truc qui fâche ? Le système de DRM, bien sûr!

Mais l’obsession pour les DRM vient tuer la nouveauté dans l’oeuf. « Le système de protection est aussi stricte qu’une institutrice du 19 ème siècle », juge David Pogue. Comme nous le notions mi-septembre, une chanson envoyée à un autre Zune est automatiquement prise en charge par un DRM qui empêche plus de trois lectures et au delà de trois jours.

On se disait, convaincus par nous-mêmes, qu’il n’était pas possible que l’iPod garde sa suprématie et qu’enfin le jour viendrait où le grand public réaliserait pourquoi il faut refuser d’acheter de la musique avec DRM.

Mais c’était sans compter sur le talent de lobbying de Microsoft. C’était sans compter sur l’aptitude de Microsoft à démontrer au monde entier pourquoi il faut fuire ses propres produits. C’était sans compter sur le Zune.

  • Dans le même esprit, un article du New York Times, toujours à propos du Zune et plus généralement des DRMs et des différents formats de protection mis en place chez Apple, Microsoft et autres.

Though Zune offers a new choice for customers, it also highlights how restrictive such choices can be.

  • Pour revenir sur les DRMs, Peter Jenner, ex-manager des Pink Floyd et des Clash (rien que ça) pense que les majors du disque sont « niqués » et que les DRMs sont morts, dans un article sur The Register justement intitulé: Big labels are f*cked, and DRM is dead.
  • Passons maintenant à la PS3, avec 2 articles qui viennent prouver que parfois Microsoft fait bien mieux les choses. Le premier, intitulé « PS3 WTF? » (« PS3 What the fuck? » pour les anglophobes, que l’on pourrait traduire dans un français franchouillard par « PS3, mais qu’est ce que c’est que ce bordel ? »).

What the hell was Sony thinking when they released the PS3? Did they really think they had a superior product compared to the Xbox 360? Remember last year when Kazuo Hirai, President/CEO of Sony made the comment that the Xbox 360 was actually Xbox 1.5? I guess in those terms the PS3 is actually Playstation 2.1.

  • Personnellement, je pensais que la PS2 n’était déjà qu’une PS1.5, on est dans la continuité ;o). Et comme le souligne l’auteur à la fin de l’article: « You know your product sucks when it gets bashed by the New York Times!« . L’article du New York Times donc, lisible ici, qui en remet une grosse couche. Howard Stringer, Président de Sony Corp., se fait aligner, et la comparaison Xbox360/PS3 lui est fatale. Nous jugerons pour notre part, lorsque Sony daignera sortir ses machines sur le continent Européen.

Howard Stringer, you have a problem. Your company’s new video game system just isn’t that great.

21 novembre 2006

Sortie de PortableApps Suite 1.0

PortableApps.com vient d’annoncer la sortie de la version 1.0 de leur suite logicielle. La particularité de cette suite, pour ceux qui ne connaissent pas (ouh!), consiste en une liste (pratiquement) complète d’applications dans leur version « portable », c’est à dire embarquable sur n’importe quel support amovible (clef USB, iPod, disque dur USB…) et ne nécessitant aucune installation locale sur le PC pour pouvoir les utiliser. En gros, vous pluggez votre clef USB et vous utilisez vos applications directement à partir de la clef. Lorsque vous avez terminé, vous la retirez et aucune trace ne reste sur le PC hôte.

La liste de logiciel inclus dans la suite est très complète, cela va du classique navigateur web (Firefox dans sa toute nouvelle version 2.0), à l’antivirus (ClamWin), en passant par une suite bureautique (OpenOffice), un client de messagerie (Thunderbird), un player multimédia (VLC), etc… Toutes ces applications sont particulièrement bien choisies et font parties des meilleures dans le monde du libre, sans hésitation. Pour la liste complète, c’est ici.

PortableApps Suite 1.0 est disponible en 3 versions, plus ou moins volumineuses:

  • Standard Edition: la plus complète. Occupe 260Mo une fois installée.
  • Lite Edition: remplace la suite OpenOffice par le traitement de texte AbiWord. Nécessite environ 105Mo après installation.
  • Base Edition: ne contient que le menu, l’outil de backup et les répertoires. Elle nécessite 1Mo seulement une fois installé, charge à vous d’ajouter les applications dont vous avez réellement besoin. Idéal pour les clefs USB de faible capacité.

Bref, une solution idéale pour les nomades squattant des PCs partout où ils vont et souhaitant retrouver leurs applications préférées, mais aussi leurs environnements et configurations personnalisés dans toutes les situations. Pour la télécharger, c’est ici.

[Mise à jour du 22/11/2006]
Et puisque nous parlons d’applications portables, je ne peux que vous conseillez de jeter un coup d’oeil à cet excellent blog qui déniche pour vous tout un tas d’applications portables… Très pratique!

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