John Gruber sur Daring Fireball:

Yahoo had a chance to buy Google in 2001 but then-CEO Terry Semel didn’t pull the trigger. I don’t think Instagram is the next Google, but Zuckerberg sure as shit doesn’t want Facebook to be the next Yahoo.

C’est la seule explication valable que je trouve finalement au rachat d’Instagram par Facebook, alors que ce dernier – on le sait désormais – développait depuis des mois sa propre application de partage de photos. Zuckerberg a donc suivi le précieux conseil d’Henri IV “Le meilleur moyen de se défaire d’un ennemi, c’est d’en faire un ami.”, ce qui dans la Silicon Valley se traduit plus simplement par “Rachète-le avant qu’il ne bouffe ton business”. C’est certainement un coup de fin stratège pour Facebook, mais très mauvais signe pour l’avenir d’Instagram1.


  1. Je ne parle pas ici du nombre d’utilisateurs, qui à n’en pas douter, n’aura de cesse d’augmenter malgré tout.  ↩

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