Déplacez le pointeur sur la page de Piknik pour changer de couleur, scrollez pour modifier la luminosité et cliquer pour verrouiller. Il ne reste plus qu’à cliquer sur le code couleur RGB, hexa ou HSL pour le copier automatiquement dans le clipboard.
Autre truc amusant, cette vidéo comparative de WP7 et d’iOS4, publiée sur pocketnow.com.
C’est d’abord le home screen de WP7, certes plutôt sexy comme ça au premier regard, qui est mis en avant mais qui cache une UI déplorable: par exemple, la quantité d’information visible sans avoir à scroller est très réduite (la faute à ces grosses « tuiles » qui composent l’interface) ou encore le tri par ordre alphabétique des applications. Nan, mais sérieux, par ordre alphabétique!!! WTF?
Ensuite, parlons multitâche. Ou plutôt de bascule entre les applis, parce que le mutlitâche est plutôt limité là encore (j’vous l’ai dit, ça ne fonctionne qu’avec les applications natives WP7). Il n’y a donc qu’un bouton « back » pour revenir à une application antérieure, mais pas de « forward » pour aller dans l’autre sens. Et pire encore, si vous avez effectué plusieurs actions dans l’application, c’est tout le chemin à l’envers qu’il faudra faire pour revenir à l’application précédente (on le voit bien sur la vidéo: puisqu’il est passé par le home screen pour lancer les Settings, il y repasse d’abord lorsqu’il fait « back » avant de revenir à l’appli Phone). Bravo, il y a donc plus de boutons physiques que sur un iPhone, mais ils ne servent à rien, huhu!
Voila le genre de petits détails qui font que j’aime Google Chrome…
La demande de mise à jour discrète, que je peux faire quand je veux seulement. Pas de pop-up intrusive qui perturbe mon activité en cours, juste une petite marque qui apparait sur l’icône du menu et l’option « Mettre à jour » dans la liste.
En fait, elle se fait normalement automatiquement à condition de fermer et de relancer Google Chrome. Ce que je n’ai jamais besoin de faire puisqu’il ne plante pas (et que je ne redémarre mon MacBook Pro que très très rarement – 9 jours d’uptime à l’heure actuelle).
Autre détail, l’icône du Dock lorsqu’un téléchargement est en cours.
C’est tout bête et ça peut se révéler très pratique sur tous ces navigateurs mobiles qui ne permettent pas d’aller voir le code source d’une page web. Snoopy est un simple bookmarklet qui permet d’afficher plusieurs informations sur le site que vous parcourez: doctype, librairies JS, outils analytiques utilisés et bien sûr le code source.
Les fonctionnalités devraient être prochainement étendues, notamment avec la validation HTML et l’affichage syntaxique.
Très jolie réalisation d’Associated Press, navigation fluide et présentation agréable de l’information pour ce concept de site en HTML5… Ca sent l’inspiration iPad, ou c’est moi?
La question, c’est : comment ça marche, et comment fait-on pour faire pareil ? Facile, il suffit de lire l’excellent tutoriel publié sur woorkup.com : How to create your own instant search?. Simple, efficace et très joliment présenté sous la forme d’une infographie, vous verrez que c’est relativement rapide à mettre en oeuvre, tout compte fait.
J’ai déjà parlé de Dominic Szablewski plusieurs fois sur ce blog (ici et là). Ce développeur de talent nous a pondu un nouveau petit bijou avec Biolab Disaster, entièrement réalisé en HTML5 et Javascript, sans le moindre bout de Flash ou de plugin dedans.
Ambiance rétrogaming au programme comme le montre la capture ci-dessous, c’est un vrai bonheur de parcourir les différents niveaux qui composent ce jeu de plateforme.
Il fonctionne parfaitement sur tout navigateur digne de ce nom, malgré quelques problèmes de son. Dominic a d’ailleurs posté sur son blog une vidéo making-of et quelques tests de performance des différents navigateurs, c’est particulièrement instructif. Je n’ai toutefois pas réussi à le faire tourner sur mon iPhone 4 (alors que ça semble fonctionner sur 3GS).