C’est ce que propose le bundle MacHeist. Cette opération, renouvelée ici pour la troisième fois, vous permet d’obtenir les versions complètes de 12 excellents logiciels pour seulement 39$.

MacHeist 3, bundle de logiciels pour Mac à 39$

Plus intéressant encore, une partie (25%) des fonds engrangés par la vente de ce bundle est reversée à des oeuvres de charité. De quoi vous donner bonne conscience en plus de faire une excellente affaire.

Proposé sur une durée limité (il reste 12 jours à l’heure où j’écris ces lignes), MacHeist 3 est pour l’instant réduit au 9 premières applications sur les 12 au total. En effet, le challenge est d’arriver à une somme de 400000$ de recettes destinées aux oeuvres de charité pour débloquer l’accès aux 3 dernières applications (Espresso, BoinxTV et The Hit List) pour l’ensemble des acheteurs. Pour info, en 2 jours seulement, la moitié du chemin est déjà fait. Aucun doute que le but sera aisément atteint.

Personnellement, je n’ai pas hésité une seule seconde à la vue de certains des softs proposés dans la liste ci-dessous:

  • World of Goo,
  • Espresso,
  • Kinemac,
  • Picturesque,
  • LittleSnapper,
  • BoinxTV,
  • WireTap Studio,
  • PhoneView,
  • iSale,
  • The Hit List,
  • Acorn,
  • SousChef,
  • BigBang Board Games.

Conçu pour tout ceux qui ont la fâcheuse tendance à se laisser aller à ne pas ranger leur bureau (celui de Windows XP/Vista/7, pas le réel), Fences est un petit utilitaire bien pratique qui va vous permettre d’organiser les icônes présentes sur celui-ci en différents groupes.

Fences en action

Après l’installation, un assistant vous permet de créer l’agencement qui vous convient (soit totalement manuel, soit un agencement prédéfini qui se chargera de trier automatiquement les icônes déjà présentes sur le bureau en quelques groupes bien pensés: Quick Links, Recent Things, Programs, Web Links, Folders et Files&Documents). Ensuite, encore un peu de customisation afin de définir la couleur de fond des « fences » (« clôtures » – le nom donné à chaque groupe d’icônes) ainsi que leur transparence.

Fences & configuration

Et hop, vous voila avec un beau bureau tout bien rangé. Personnellement, vieil adepte du « zero-icone » sur le bureau, j’ai tendance à me laisser déborder de temps en temps et ce Fences me permet de garder tout ça organisé en attendant un futur tri/ménage.

C’est la question que l’on se pose parfois devant un fichier à l’extension obscure qu’un type que vous devriez rayer de votre liste d’amis proche à eu la bonne idée de vous envoyer. La question qui vient juste après étant généralement: « Et comment je le lis ce #!@?!# de fichier à la con ? ».

OpenWith.org va vous aider à répondre à cette question, puisque non seulement il vous permet d’identifier le type de fichier, mais surtout va vous indiquer la ou les applications gratuites permettant de le lire (voir de l’éditer si possible). Encore mieux, puisque les liens vers le téléchargement et le site officiel de l’appli miracle sont également proposés.

OpenWith.org, résultat de recherche

Et pour les plus fainéants d’entre vous qui ne veulent même pas se donner la peine d’aller sur le site web d’OpenWith.org pour faire la vérification, il suffit d’installer OpenWith.org Desktop Tool qui permet d’un simple click-droit sur un fichier inconnu d’obtenir les mêmes informations. C’est pas beau, ça ?

OpenWith Desktop Tool, l'outil pour Windows

Récent switcher, je suis toujours en quête d’applications pratiques pour mon nouveau MacBook Pro. J’ai trouvé mon bonheur sur Hongkiat.com qui propose une liste impressionnante d’applications gratuites.

100 free mac apps

En effet, ce ne sont pas moins de 100 logiciels, de grande qualité (pour ceux que je connais) qui ont été sélectionné dans cet article, en 2 parties (la seconde n’étant pas encore disponible à l’heure où j’écris ce post, je vous tiendrais au courant). Et pour vous y retrouver plus facilement, les applications sont classées par thème:

PART I:

  • Productivity
  • Tools & Utilities
  • Readers
  • System
  • Chat Clients

PART II:

  • Internet & Network Utilities
  • Audio and Video
  • Imaging
  • More tools

A bookmarker absolument, en attendant la suite!

Si comme moi, vous avez passé des heures à dégommer du Covenant dans les épisodes 1, 2 et 3 de Halo, peut-être aimeriez-vous savoir ce qui a poussé Humains et vilains E.T. à s’affronter aussi violemment ?

C’est ce que propose ce spin-off de Halo, en mode RTS, justement intitulé Halo Wars, qui vous replonge dans l’univers de la trilogie, mais 20 ans avant les aventures du Master Chief. A la vue de la petite vidéo ci-dessous, ça promet quelques bons moments. Et chose assez exceptionnelle pour un RTS, le jeu a été pensé pour être joué sur console, et pour cette seule raison, mérite toute notre attention.

Me voilà donc bien tenté de gouter à ce Halo Wars, et puis ça me changera de tous ces jeux où il faut sans arrêt tirer sur tout le monde (ah non, merde, bon tant pis…). Et j’oubliais, ça sort le 27 février sur Xbox360.

Personnellement, j’ai un peu tout essayé en matière de client pour Twitter: le site web, un plugin Firefox, des applications diverses et variées, sans jamais vraiment trouver mon bonheur. J’ai alors envisagé TweetDeck dont tout le monde parle, mais le coté multi-colonnes de l’interface m’a refroidi: je ne veux pas d’un truc qui me bouffe tout l’écran, je veux un truc discret qui me permet de suivre d’un oeil ce qu’il se passe sur Twitter tout en faisant autre chose. De plus, les échos de grosse consommation mémoire (rapidement plus de 500Mo) n’ont pas fait peser la balance dans le bon sens pour TweetDeck.

C’est alors que j’ai découvert DestroyTwitter, qui vient aujourd’hui combler tous mes désirs en matière d’outil pour tweeter. Une interface utilisateur agréable à l’oeil et très soignée. 1 seule colonne, et des boutons qui permettent de passer sur les différentes vues (replies, search, DM, etc…). Ajoutez à cela la fonction de notification et vous avez sous la main un soft d’une parfaite discrétion.

DestroyTwitter, l'interface

Mais ça ne s’arrête pas là, DestroyTwitter offre tout un tas de petits trucs tellement pratiques: le Quick Friend Lookup qui affiche automatiquement la liste de vos followers lorsque vous saisissez le caractère @ dans un tweet, l’affichage du tweet d’origine dans la boite de composition d’une réponse, une vue dialogue permettant de voir un tweet et sa réponse directe, une flopée de raccourcis clavier, une intégration de twitpic pour poster une image d’un simple glisser-déposer,  un mode Away qui fige l’application jusqu’à ce que vous reveniez devant l’écran, etc… Pour découvrir tout cela dans le détail, de nombreux screenshots sont disponibles ici.

DestroyTwitter, reply...

Si l’on ajoute à tout cela le fait que c’est une application Air, donc par définition multi-plateformes (Windows, Mac, Linux) et qu’elle ne consomme pas plus de 90Mo même après de longues heures d’utilisation, vous comprendrez que DestroyTwitter est devenue mon client Twitter préféré.

Et vous ? Vous utilisez quoi pour tweeter ?

Prometteur ce nouveau projet dans les tiroirs de Mozilla Labs, intitulé Bespin. Editeur de code en ligne, respectant les standards de l’Open Web par opposition aux formats propriétaires (tels que Flash & Silverlight pour ne pas les citer), Bespin se fixe quelques objectifs très sexy:

  • Facilité d’utilisation — une interface simple permettant de se plonger directement dans le code
  • Collaboration en temps réel — pour éditer à plusieurs et en même temps le même code
  • Ligne de commande intégrée — à la manière de vi et Emacs qui ont démontré les avantages d’une ligne de commande intégrée à l’éditeur
  • Avec des possibilités d’extension — à la manière des extensions Firefox, ou encore avec des commandes à la Ubiquity
  • Très rapide — l’éditeur se doit d’être réactif même avec des fichiers très volumineux
  • Accessible de partout — depuis n’importe quel système dans tous les navigateurs respectueux des standards

Bespin

Pour ceux qui veulent en savoir plus, une version 0.1 de Bespin est dors et déjà accessible. Il ne s’agit que d’une démo assez limitée pour l’instant, mais cela permet déjà de se faire une idée de l’interface (et de sa qualité de réalisation). A suivre donc de très prêt.

Bespin, l'éditeur de code en ligne

Si vous êtes un twitter-addict mais que votre esprit de synthèse n’est pas des plus efficaces, la limitation à 140 caractères par tweet peut vous sembler cruelle. TwitterKeys peut vous venir en aide, en vous permettant de remplacer les mots par des pictogrammes. En effet, Twitter est compatible UTF8, ce qui permet d’afficher un nombre de symboles assez variés.

TwitterKeys

Petit exemple:

“I’m going to ✈ to ☭ in the morning after I make a ☎ to make sure my ♂ is ✔ with it. ✌ for now and don’t forget to ✍ and lets have ♨ soon!”

C’est du bonheur, non ? Et pour l’avoir toujours sous la main, un simple bookmarklet à glisser vers votre barre de favoris. Ainsi, d’un click, vous faites apparaître la fenêtre TwitterKeys. Il ne vous reste alors qu’a copier-coller le caractère désiré dans votre tweet. A utiliser avec modération toutefois car ça peut vite être saoulant pour vos followers.

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